Etymologie, Etimología, Étymologie, Etimologia, Etymology, (griech.) etymología, (lat.) etymologia, (esper.) etimologio
FR Frankreich, Francia, France, Francia, France, (esper.) Francio, Francujo
Pejoration, Peyoración, Péjoration, Pegggioramento, Pejoration, (esper.) pejorativoj
A
B
C
Chevallard (W3)
Der Name "Chevallard" wird mit der ursprünglichen Bedeutung frz. "celui qui est fort comme un cheval" angegeben. "Stark sein wie ein Pferd" ist ja eher etwas vorteilhaftes. Die negative Konnotation, die dem Namen nachgesagt wird, ist vielleicht darauf zurück zu führen, dass man übermäßige Stärke mit Grobschlächtigkeit in Verbindung brachte. Und die im ländlichen Frankreich verwendeten Ackergäule waren auch keine Rennpferde.
(E?)(L?) http://www.cairn.info/revue-education-et-didactique-2011-2-page-85.htm
Caroline Ladage et Yves Chevallard
Enquêter avec l’internet : études pour une didactique de l’enquête
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(E?)(L?) http://educationdidactique.revues.org/1266
Caroline Ladage et Yves Chevallard
Enquêter avec l’internet : études pour une didactique de l’enquête
Éducation et didactique, | 2011, 85-116.
(E?)(L?) http://educationdidactique.revues.org/771
Yves Chevallard
La didactique, dites-vous?
Éducation et didactique [En ligne], vol. 4 - n°1 | 2010, mis en ligne le 01 mai 2012, consulté le 16 octobre 2014.
(E?)(L?) http://educationdidactique.revues.org/68
Yves Chevallard: Article | Compte-rendu
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(E?)(L?) http://www.genealogie.com/nom-de-famille/CHEVALLARD.html
Les CHEVALLARD, naissances en France
Total des naissances pour le patronyme CHEVALLARD :
- 1891 - 1915 : 45
- 1916 - 1940 : 40
- 1941 - 1965 : 52
- 1966 - 1990 : 40
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(E?)(L?) http://www.geneanet.org/genealogie/fr/chevallard.html
Dérivé en principe péjoratif formé sur le mot "cheval" (celui qui est fort comme un cheval?). On le rencontre en Bourgogne et dans le Lyonnais. Variante: "Chevalard".
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(E?)(L?) http://www.genefourneau.com/Etymologie%20ABC.html
CHEVALLARD : dérivé en principe péjoratif formé sur le mot 'cheval'.
(E?)(L?) http://www.geopatronyme.com/nomcarte/CHEVALLARD
La France des CHEVALLARD entre 1891 et 1915
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(E?)(L?) http://www.nom-famille.com/nom-chevallard.html
Chevallard : nom de famille
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(E?)(L?) http://rechercheformation.revues.org/584
Pour une formation professionnelle d’université - Éléments d’une problématique de rupture
For a university professional training: breaking with the past, elements of the problem
Para una formación profesional de universidad: elementos de una problemática de ruptura
Für eine universitäre Berufsbildung: Elemente einer Problematik des Wechsels
Yves Chevallard et Gisèle Cirade
(E?)(L?) http://educationdidactique.revues.org/61
Yves Chevallard
Éducation & didactique : une tension essentielle
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(E?)(L?) http://fr.wikipedia.org/wiki/Yves_Chevallard
Yves Chevallard est un didacticien des mathématiques français né le 1er mai 1946 à Marseille. Il est considéré comme l'une des figures emblématiques de la didactique des mathématiques française au même titre que Guy Brousseau, Gérard Vergneau et Michèle Artigue.
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(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=Chevallard
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.
Frz. "Chevallard" taucht in der Literatur um das Jahr 1820 auf.
Erstellt: 2014-10
D
E
exotique (W3)
Frz. "exotique" = dt. "fremdländisch", "überseeisch", "fremdartig" geht zurück auf lat. "exoticus" und dieses wieder auf griech. "exotikós" = dt. "ausländisch", "außerhalb (des eigenen Landes)", mit griech. "éxo", "ex" = dt. "aus", "heraus".
Zur Bezeichnung einer übertriebenen Andersartigkeit kann frz. "exotique", wie dt. "exotisch", aber auch zur negativen Charakterisierung verwendet werden.
(E?)(L?) http://www.afrik.com/article6989.html
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Afrik : Les Canadiens considèrent-ils le cinéma africain comme du cinéma exotique ou comme un cinéma à part entière ?
Gérard Le Chêne : Le mot exotique n’a pas le même sens au Québec et en France, où il a plus une dimension péjorative. Au Québec ça se rapproche plus de l’étymologie du terme : « qui vient d’ailleurs ». Les gens sont justement intéressés, entre autres, par le cinéma africain pour cette raison là. Nous avons fait plusieurs études sur notre public. Et il apparaît qu’il veut voir du cinéma différent en réaction face à l’omniprésence du cinéma américain qui contrôle la plupart des salles. Au Canada et à Montréal, tous les festivals marchent bien parce qu’ils offrent une alternative à la programmation habituelle. Il y a un intérêt supplémentaire au Québec concernant l’Afrique parce que la plupart des films viennent de pays francophones. Il y a ce sentiment, plus vif qu’en France, d’appartenir à la francophonie. Un aspect positif de la mondialisation.
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(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/exotique
EXOTIQUE, adj. et subst.
Étymol. et Hist. 1552 marchandises exotiques (Rabelais, Quart Livre, chapitre 2, éd. Marty-Laveaux, t. 2, p. 273). Empr. au lat. class. exoticus, gr. "exotikós" « étranger ».
(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=exotique
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.
Frz. "exotique" taucht in der Literatur um das Jahr 1630 / 1760 auf.
Erstellt: 2014-10
F
G
H
I
indigène (W3)
Dt. "indigen", frz. "indigène" (1532), gehen zurück auf spätlat. "indigenus", das sich zusammensetzt aus lat. "indu" = dt. "in" und lat. "gignere" = dt. "erzeugen", "zeugen", "gebären" (lat. "generare" = dt. "zeugen", "hervorbringen", vgl. dt. "generieren"). Diese Bezeichnung bedeutet in der Fachsprache "eingeboren", "einheimisch". Im Kontext kolonialer Verhältnisse wird frz. "indigène" aber auch in herabsetzender Weise benutzt.
(E?)(L?) http://1jour1actu.com/2011/
16/02/2011 - Amazonie : une tribu indigène filmée - Monde
(E?)(L?) http://1jour1actu.com/2006/
22/06/2006 - Les peuples indigènes se défendent - France
(E?)(L?) http://1jour1actu.com/2004/
04/08/2004 - Les indigènes, génies de la forêt - France
(E?)(L?) http://www.canalacademie.com/ida2948-Esclavage-Indigene.html
Esclavage, Indigène
Mot pour mot, la rubrique de Jean Pruvost
Jean Pruvost, lexicologue, nous livre l’étymologie des mots « esclavage » et « indigène ».
dimanche 18 mai 2008 - Emission proposée par : Jean Pruvost
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Un indigène de Pontoise à l’Opéra
Construit sur les éléments latins "gena" et "indu", c’est-à-dire, "né, issu (gène) de l’intérieur", le mot indigène désigne étymologiquement "celui qui est du pays", et c’est ainsi qu’il apparaît chez Rabelais avec pour contraire le mot exotique. On oppose par exemple les "plantes indigènes" aux "plantes exotiques". Le mot est alors valorisant et, au XVIIIe siècle, l’abbé Prévost, auteur d’un Dictionnaire portatif, précisera même que les indigènes, "habitants naturels d’un Païs", sont à rapprocher du latin "Indigetes", désignant les héros « qui avoient mérité, par de grandes actions, d’être élevés au rang des Dieux ».
Au même moment cependant, s’installe une nouvelle opposition entre les colonisateurs et ceux qui, selon la formule encore offerte dans le premier Petit Larousse (1905), vivent « dans un pays depuis un temps immémorial », et qui vont être hélas exploités ou exterminés. Au reste, dans le Dictionnaire universel (1856), Lachâtre en fait déjà le constat presque résigné : « La civilisation des États-Unis refoule et détruit les Indigènes de l’Amérique ». Tout aussi ignominieusement, à l’indigène exploité fera suite l’indigène enrôlé ; dans la 8e édition du Dictionnaire de l’Académie (1935), on mentionne effectivement les troupes indigènes, « recrutées parmi la population indigène des colonies et des pays de protectorat ». Il était temps qu’au seuil du XXIe siècle soient rappelées la souffrance et la dignité des indigènes ainsi traités. Quant à un autre sens péjoratif du mot, « habitant d’une localité », un exemple recensé chez Lachâtre irritera pour le moins les habitants de Pontoise : « Un indigène de Pontoise égaré au bal de l’Opéra » ! De quoi élever une protestation indignée, d’autant plus que ce dernier adjectif représente le juste anagramme d’indigène.
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(E?)(L?) http://www.afblum.be/bioafb/etymons.pdf
"indigène" "indigena", "indigenae" - "indu" (v. ENDO-) : forme arch. de "in-" , employée surtout comme préf. - v. "génit-", "génito-"
(E?)(L?) http://collatinus.fltr.ucl.ac.be/jano/
"indigena", "indigenae", m. : "indigène", né dans le pays (en parl. des hommes et des dieux).
(E?)(L?) http://www.laviedesidees.fr/Une-nouvelle-question-indigene.html
Une nouvelle question indigène outre-mer ?
par Benoît Trépied , le 15 mai 2012
Domaine(s) : Politique
Dossier(s) : Outre-mer : la République en sa diversité
Mots-clés : peuples indigènes | France
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Amérindiens de Guyane, Mahorais de Mayotte, Kanak de Nouvelle-Calédonie, insulaires de Wallis-et-Futuna et de Polynésie : les populations indigènes ont été les oubliées de l’Année des Outre-mer. Mais entre indépendance, autonomie, droits spéciaux, leur présence ancienne dans la communauté nationale amène aujourd’hui une variété de solutions qui font de ces « confettis d’empire » des laboratoires des modes de l’appartenance nationale.
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(E?)(L?) http://insaniyat.revues.org/11591
Auteur : Rédouane AINAD TABET
Date de publication : mars 1997
Disponibilité du document : Texte intégral disponible en accès libre
Sidi-bel-Abbès : des mythes fondateurs de la colonisation à la libération
Sidi-Bel-Abbès : founder myths from colonization to liberation
Sidi Bel Abbes : de los mitos fundadores de la colonización a la liberación
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Devenus des ouvriers agricoles saisonniers sur la terre de leurs ancêtres, les indigènes (16), appauvris et prolétarisés, connaissent alors la misère et les épidémies, régressant en nombre au point que l’on peut parler à l’échelle locale comme à celle du pays, d’un véritable désastre démographique (17).
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(16) Au sens étymologique du mot et non péjoratif des colons.
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(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=indigène
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.
Frz. "indigène" taucht in der Literatur um das Jahr 1730 auf.
Erstellt: 2014-10
J
K
L
Littérature (W3)
Der französische Lyriker Paul Verlaine (30.03.1844 (Metz) - 08.01.1896 (Paris)) soll für den negativen Beigeschmack und die Schreibweise von frz. "Littérature" verantwortlich sein. Sein Gedicht "Art poétique" (1882) wurde zum poetologischen Manifest der Symbolisten. Nach einer Schilderung dessen was im wichtig erschien, fügte er an "tout le reste est littérature".
(E?)(L?) http://www.canalacademie.com/ida3643-Litterature-et-festival.html
Littérature et festival
Mot pour mot, la rubrique de Jean Pruvost
Pourquoi écrire Littérature avec deux "T"? Pourquoi ce mot a-t-il parfois une tournure péjorative? C’est la faute à Verlaine, comme l’explique notre lexicologue Jean Pruvost, qui nous livre aussi l’étymologie du mot "festival": une vraie fête en effet et pas seulement sur la Croisette !
Littérature avec deux "t"
«Littéraire, Littérature : mots injurieux» déclare sans ambages Charles Dantzig dans son Dictionnaire égoïste de la littérature française (2005). Et de le justifier à travers quelques expressions péjoratives que l’on s’est effectivement tous surpris à dire lorsqu’un discours ne nous a pas paru crédible : «c’est du roman ! …de la littérature», bref, c’est «tout un poème !» Comme le signale le Trésor de la langue française, ce serait Verlaine le coupable : c’est en effet à lui qu’on devrait l’un des premiers usages péjoratifs du mot, lorsque dans son Art poétique, après avoir énoncé forcément ce qu’il croit essentiel, il ajoute que «tout le reste est littérature !»
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(E?)(L?) http://de.wikipedia.org/wiki/Paul_Verlaine
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W. Berger, der auch eine Auswahl Verlaine'scher Gedichte übertragen hat, schreibt: „Von Baudelaire und den Parnassiens beeinflusst, gehört Verlaine zu den Wegbereitern des Symbolismus, dessen erster bedeutender Vertreter er selbst ist. Sein musikalischer, auf raffinierteste Klangeffekte abgestimmter Vers gewann der französischen Sprache bis dahin unerhörte euphonische Möglichkeiten ab. Sein Gedicht Art poétique wurde zum poetologischen Manifest der Symbolisten…“
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In den Romances sans Paroles wandte Verlaine erstmals die Theorie an, die er in einem später (1882) veröffentlichten Gedicht Art poétique (entstanden 1874) niederlegte: Der Vers soll Musik sein, eine Harmonie von Tönen, ein flüchtiger Rausch, der die Grenzen der Form verwischt und die Farben nur als Nuancen wiedergibt („Pas la couleur, rien que la nuance!“).
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(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=Littérature
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.
Frz. "Littérature" taucht in der Literatur um das Jahr 1710 auf.
Erstellt: 2014-10
M
malotru (W3)
Frz. "malotru" = dt. "ungehobelt", "flegelhaft" und als Substantiv dt. "Rüpel", "Flegel" geht zurück auf frz. "mal" = dt. "schlecht", "übel" und lat. "astrum", griech. "ástron" = dt. "Stern" und bedeutet also wörtlich etwa "(unter einem) schlechten Stern (geboren sein)". Während frz. "malotru" ursprünglich einen "unglücklichen Menschen" (1175) bezeichnete, nahm es schon bald die neagtivere Bedeutung "schlechter Mensch" an. "Unglückliche Menschen" hatten es eben schon immer schwerer sich als "gute Menschen" zu präsentieren.
Lat. "astrum", griech. "ástron" steckt übrigens auch in "Desaster", das etwa "Unstern" bedeutet.
(E?)(L?) http://www.canalacademie.com/ida8685-Malheureux-malotru.html
dimanche 1er juillet 2012 - Emission proposée par : Jean Pruvost
Malheureux malotru
Mot pour mot, la rubrique de Jean Pruvost
Mon mot est une anagramme de "tumoral" et ne peut pas faire plaisir… Assurément, ce sont sept lettres qui forgent un mot qui commence "mal", c’est le cas de le dire, avec "malotru". Le "malotru" est aujourd’hui une personne grossière, sans éducation, un "goujat", un "rustre", un "butor" (étymologiquement, un "butor" est un "bœuf d’eau", un échassier assez vilain dont le cri évoque le meuglement d’un taureau…), en principe, il n’a donc rien de séduisant. Et en remuant toutes ses lettres, cela s’aggrave, il donne l’adjectif construit sur le mot "tumeur", "tumoral".
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(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/malotru
MALOTRU, -UE, subst. et adj.
Étymol. et Hist. 1. Ca 1175 adj. "malheureux" chaitis, dolenz e malostruz (Benoît de Ste-Maure, Ducs Normandie, éd. C. Fahlin, 29457); 1534 subst. (Rabelais, Gargantua, éd. R. Calder, XXXV, ligne 32, p. 214); 2. ca 1200 adj. "grossier", "balourd" li cuvers malostruz (Aliscans, éd. E. Wienbeck, W. Hartnacke, P. Rasch, 5914); 3. 1210 adj. "qui est mal bâti, physiquement disgrâcié" singe... laid e malostru (Guillaume Le Clerc, Le Bestiaire, éd. R. Reinsch, 1931); 1580 subst. (Montaigne, Essais, éd. P. Villey et V.-L. Saulnier, II, VIII, 399). Altération peu claire de "*malastru" - la transformation de "-a-" en "-o-" restant inexpliquée - d'un lat. pop. "*male astrucus" proprement "né sous une mauvaise étoile" formé sur le b. lat. "astrosus" de même sens, avec substitution de suff., lui-même de "astrum" "astre" (la forme "malastru", ca 1380, Jeh. des Pres ds Gdf. est une forme second. qui ne continue pas la forme ant. à "malostru"); cf. a. esp. "astrugo", a. prov. "astruc" et "benastruc" "né sous une bonne étoile", "malostruc" "malheureux". Le suff. "-ucus" forme quelques adj. assez isolés et est prob. tiré de caducus, bien que ce dernier soit dér. d'une racine verbale; on a ainsi "caducus" "qui tombe, enclin à tomber", "*fiducus" "très ou trop sûr de soi" d'où "en danger de tomber" (que laisse entrevoir "fiducia" "confiance") et "*ostrucus" "voué à un destin cruel" (cf. J. Malkiel ds Mél. Imbs (P.), pp. 185-189).
(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/malotrue
malotrue
(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=malotru
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.
Frz. "malotru" taucht in der Literatur um das Jahr 1770 auf.
Erstellt: 2015-08
mé-
més- (W3)
Der Präfix frz. "mé-", "més-" kann irreführend sein. In der Regel handelt es sich dabei um einen Abkömmling von griech. "mésos" = dt. "Mitte" und setzt dem nachfogenden Wortteil ein "mittlere", "mittel-", "Mittel-, "in der Mitte zwischen -" davor.
Zu diesen Worten zählen:
- frz. "mésentère" = dt. "das (zwischen den Därmen liegende) Gekröse des Dünndarms"
- frz. "mésoblaste" =dt. "mittleres Keimblatt in der menschlichen und tierischen Embryonalentwicklung" (zu griech. "blastós" = dt. "Spross", "Keim")
- frz. "mésoderme" = dt. "mittleres Keimblatt in der Embryonalentwicklung" (zu griech. "dérma" = dt. "Haut")
- frz. "mésolithique" = dt. "die Mittlere Steinzeit betreffend" (zu griech. "líthos" = dt. "Stein")
- frz. "mésopotamien" = dt. "Zweistromland im Irak zwischen Euphrat und Tigris"
- frz. "mésosphère" = dt. "(mittlere) in etwa 50 bis 80 km Höhe liegende Schicht der Erdatmosphäre"
- frz. "mésozoïque" = dt. "Mittelalter der Erde" (zu griech. "zoikós" = dt. "zu den Lebewesen gehörend", "tierisch", griech. "zoon" = dt. "Lebewesen", "Tier")
- frz. "méson" = dt. "instabiles Elementarteilchen mittlerer Masse (geringer als die eines Protons, größer als die eines Leptons)" (zu griech. "tò méson" = dt. "das in der Mitte Befindliche")
Es gibt jedoch auch einen Präfix frz. "mé-", "més-", der dem nachfolgenden Wortteil zum Nachteil gereicht. Diesen Präfix haben die Franken einst nach Frankreich gebracht. Er ist verwandt mit dt. "miss-", "un-".
Zu diesen Worten gehören
- frz. "mésalliance" = dt. "nicht standesgemäße Ehe", "unglückliche, (unebenbürtige) Verbindung oder Freundschaft" (zu frz. "alliance" = dt. "Verbindung", "Ehe", vgl. dt. "Allianz")
- frz. "mécompte" = dt. "Enttäuschung", "Rechenfehler"
Zur Verwandtschaft von frz. "mé-", "més-", dt. "miss-" gehören mhd. "mis-", "misse-", ahd. "missa-", got. "missa-", engl. "mis-", schwed. "mis-". Als Wurzel findet man ide. "*mei-", "*meit-", "*meith-" = dt. "wechseln", "tauschen", dann germ. "*maina-" = dt. "falsch". Letzteres findet man auch in dt. "Meineid". Dazu gehört auch die Wortfamilie zu dt. "meiden" mit der ursprünglichen Bedeutung dt. "verwechselt", "vertauscht". Diese Bedeutung findet man auch in got. "misso" = dt. "wechselseitig" und altind. "mitháh" = dt. "abwechselnd". Als direkte Nachfahren findet man dt. "missen", "misslich", "Missetat" (mhd. "missetat", ahd. "missitat", got. kirchensprachlich "missadeÞs" = dt. "Sünde"), missachten", "Missachtung" (17. Jh.), "missbehagen" (15. Jh., mhd. "missehagen"), "Missbehagen" (17. Jh.), "missbilligen" (17. Jh., dt. "billig" = ursprünglich dt. "echt", "passend", "angemessen", "gemäß", vgl. "recht und billig"), "Misserfolg" (19. Jh.), "Missernte" (19. Jh.), "Missgeburt" (16. Jh.), "missglücken" (17. Jh.), "missgönnen" (16. Jh.), "Missgunst (16. Jh.), "missgünstig" (16. Jh.), "misshandeln", "Misshandlung", "misshellig", "Misshelligkeit", "missliebig" (18. Jh., Ersatzwort für "antipathisch"), "misslingen", "Missmut" (18. Jh., aus "missmutig"), "missmutig" (17. Jh.), "missraten", "Missstand" (16. Jh.), "Missstimmung" (18. Jh.), "misstrauen", "Misstrauen", "misstrauisch" (17. Jh.), "Missverhältnis" (18. Jh., Lehnübersetzung von lat. "disproportio"), "Missverständnis" (18. Jh.), "missverstehen" (18. Jh.).
(E?)(L?) http://www.afblum.be/bioafb/etymons.pdf
mésentère ; mésoblaste ; mésoderme ; mésolithique ; mésopotamien ; mésosphère ; mésozoïque ; méson
v. KAON - diff. préf. d’orig. francique à connotation péjorative, mé / més (devant voy.) :
ex : mésalliance, mécompte !
Erstellt: 2014-10
N
O
P
péjoratif
péjorativement (W3)
Frz. "péjoratif" geht über mlat. "pejoration", "pejoratio" = dt. "Verschlechterung", spätlat. "pejorat" (lat. "pejorare" = dt. "verschlechtern", lat. "pejor" = dt. "schlechter", "schlimmer".
(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/péjoratif
(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/péjorativement
PÉJORATIF, -IVE, adj.
Étymol. et Hist. 1784 subst. (Rivarol, De l'universalité de la lang. fr., p.32); 1834 adj. (Boiste). Dér. sav. du b. lat. pejorare «rendre pire», dér. de pejor, pejoris, v. pire.
(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=péjoratif
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.
Frz. "péjoratif" taucht in der Literatur um das Jahr 1820 auf.
(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=péjorativement
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.
Frz. "péjorativement" taucht in der Literatur um das Jahr 1900 auf.
Erstellt: 2014-10
péjoration (W3)
Dt. "Pejoration", frz. "Péjoration", engl. "Pejoration" (1650-1660), geht über mlat. "pejoration", "pejoratio" = dt. "Verschlechterung", spätlat. "pejorat" (lat. "pejorare" = dt. "verschlechtern", lat. "pejor" = dt. "schlechter", "schlimmer".
"Pejoration" gehört (wie etwa auch dt. "Pessimismus") zur großen Wortfamilie von ide. "*ped-" = dt. "Fuß" (vgl. frz. "pied" = dt. "Fuß", "Bein", engl. "pedestrian" = dt. "Fußgänger"). Somit liegt eine ursprüngliche Bedeutung "fußartig", "am Boden liegend", "zuunterst" = "am schlechtesten" vor.
(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/péjoration
PÉJORATION, subst. fém.
Étymol. et Hist.
1. xv. s. «action d'empirer; état de ce qui devient pire» (trad. de la Chirurgie de Bruno de Longoburgo, ms. de Salis, fo27d ds Gdf.), empl. isolé; de nouv. 1842 (Ac. Compl.);
2. 1963 ling. (Lar. encyclop.). Dér. sav. du b. lat. pejorare, v. péjoratif; suff. -(a)tion*.
(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=péjoration
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.
Frz. "péjoration" taucht in der Literatur um das Jahr 1820 auf.
Erstellt: 2014-10
Q
R
romano (W3)
Die Bezeichnung frz. "romano" hat einen abfälligen (pejorativen) Charakter. Die Pluralform ist als ethnische Bezeichnung neutral oder zumindest weniger negativ besetzt.
(E?)(L?) http://www.ahlabellelangue.com/p3.php?init=r
Question : Le mot "romano" est-il un mot argotique, raccourci de "romanichel" ?
Réponse : Non, ce n'est pas un raccourci de "romanichel" ; c'est un synonyme, péjoratif certes, de "romani", nom pluriel qui désigne les peuples nomades tels que les bohémiens. Il serait donc effectivement correct et même plus gentil de dire "romani" au lieu de "romano" et même de "romanichel", mot dont l'origine est obscure.
(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/romano
ROMANI, ROMANO, subst.
ROMANO, adj. et subst.
Étymol. et Hist. 1. 1845 "rommani" « langue des romanichels » (Mérimée, Carmen ds R. des Deux Mondes, t. 12, oct., p. 29); 2. a) 1859 "romano" « romanichel » (Liszt, Des Bohémiens et de leur musique en Hongrie, Paris, p. 256); b) 1883 "romani" « id. » (Richepin, Miarka, p. 160); 3. 1923 « vagabond, individu sans résidence fixe et au métier flottant » (Lar. univ.). Mot de la lang. des tziganes, adj. « propre aux tziganes », de rom « homme, mari; tzigane », notamment dans romani tschib « langue des tziganes », aussi subst. fém. « langue des tziganes » (S. A. Wolf, Großes Wörterbuch der Zigeunersprache, Mannheim, 1960).
(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=romano
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.
Frz. "romano" taucht in der Literatur um das Jahr 1750 auf.
Erstellt: 2014-10
S
T
U
V
W
X
Y
Z