Etymologie, Etimología, Étymologie, Etimologia, Etymology, (griech.) etymología, (lat.) etymologia, (esper.) etimologio
FR Frankreich, Francia, France, Francia, France, (esper.) Francio, Francujo
Militarismus, Militarismo, Militarisme, Militarismo, Militarism, (esper.) militarismoj

A

arme
Armee
Armatur
Alarm
armature (W3)

Frz. "arme" = "Waffe" liegt eine ähnliche Entwicklung wie dt. "Waffe" zu Grunde. Neben der allgemeinen Bedeutung von lat. "arma" = "Gerät", "Ausrüstung" liegt auch schon die spezielle Bedeutung "Waffe" ("Kriegsgerät") vor. Die allgemeine Bedeutung kann man noch in dt. "Armatur" und frz. "armature" = "Gerüst", "Gestänge", "Gestell" erkennen.

Das lat. "arma" umfasst noch Bedeutungen wie "Gerät", "Handwerkszeug", "Sattelzeug", "Bäckereigerät", "Segelzeug", "Tauwerk", "Ackergerät", "Baugerät", "Waffen", "Rüstzeug", "Kriegsmaterial". In frz. "armes" = "Waffen", "Armee" findet man nur noch den militärischen Anteil.

Interessant ist noch die Herkunft von dt. "Alarm" von ital. "all'arme" = dt. "zu den Waffen".

Zu Grunde liegt ide. "*ar-", "*her-" = "fügen", "passen".

(E?)(L?) http://www.albertmartin.de/latein/


(E?)(L?) http://www.gottwein.de/latine/LLL01.php


(E?)(L?) http://www.koeblergerhard.de/Latein/LateinischesWB.pdf


arquebuse (W3)

Bei dem frz. "arquebuse" = dt. "Arkebuse" (eine im 15./16. Jahrhundert übliche Handfeuerwaffe), tschech. "arkebuza", das die Hussiten "hákovnice" nannten, ist die Herkunft nicht ganz klar. Auf der angegebenen Seite von Radio Prag stammt es aus Tschechien. Es gibt aber auch ein niederl. "hakebusse" = "Hakenbüchse", das als Ausgangspunkt wahrscheinlich ist.

(E?)(L?) http://www.radio.cz/fr/article/75998


Artillerie (W3)

(E?)(L?) http://www.gutenberg.org/cache/epub/4935/pg4935.html
Ce mot est un exemple frappant de la force de la tradition dans la conservation des vieux mots, malgre le changement complet des objets auxquels ils s'appliquent. Dans "artillerie", il n'est rien qui rappelle la poudre explosive et les armes a feu. Ce mot vient d'"art", et ne signifie pas autre chose que objet d'art, et, en particulier, d'art mecanique. Dans le moyen age, "artillerie" designait l'ensemble des engins de guerre soit pour l'attaque, soit pour la defense. La poudre ayant fait tomber en desuetude les arcs, arbaletes, balistes, chateaux roulants, beliers, etc., le nom d'"artillerie" passa aux nouveaux engins, et meme se renferma exclusivement dans les armes de gros calibre, non portatives. Il semblait qu'une chose nouvelle dut amener un nom nouveau; il n'en fut rien. Le neologisme ne put se donner carriere; et, au lieu de recourir, comme on eut fait de notre temps, a quelque compose savant tire du grec, on se borna modestement et sagement a transformer tout l'arsenal a cordes et a poulies en l'arsenal a poudre et a feu. Seulement, il faut se rappeler, quand on lit un texte du quatorzieme siecle, qu'"artillerie" n'y signifie ni arquebuse, ni fusil, ni canon.

B

C

catapulte, Katapult (W3)

Das frz. "catapulte" = dt. "Katapult" wurde von den Hussiten, den Anhängern des Reformators "Jan Hus" aus Tschechien nach Deutschland und Frankreich gebracht.
Letztlich geht es aber zurück auf lat. "catapulta" = "Wurfmaschine" und weiter auf griech. "katapéltes".
Es setzt sich zusammen aus griech. "kata" = "von", "herab" und lat. "pulpitum" = "Brettergerüst", also eine ganz treffende Bezeichnung für die Schleudermaschine, deren Wurfmechanismus durch herunterdrücken in Spannung versetzt wurde.

(E?)(L?) http://www.radio.cz/fr/article/75998


chetif (W3)

Frz. "chetif" geht zurück auf lat. "captivus" = dt. "gefangen", "kriegsgefangen". Während jedoch das ebenfalls auf lat. "captivus" zurück gehende frz. "captif" die Bedeutung "gefangen" behielt, übertrug sich der miserable Zustand der Gefangenen auf das Wort frz. "chetif" und ließ es "Schwächlich" werden.

(E?)(L?) http://www.gutenberg.org/cache/epub/4935/pg4935.html
Cet adjectif (frz. "chetif" = dt. "schwächlich") vient du latin "captivus" (= dt. "gefangen", "kriegsgefangen"), "captif", "prisonnier de guerre"; aussi dans l'ancienne langue a-t-il le sens de "prisonnier". Mais de tres bonne heure cette signification primitive se trouve en concurrence avec la signification derivee, celle de "miserable". Les Latins ne sont point les auteurs de la derivation que le mot a subie; ce sont les Romans qui l'ont ainsi detourne; detournement qui, du reste, se concoit sans beaucoup de peine, le prisonnier de guerre etant sujet a toutes les miseres. A mesure que le temps s'est ecoule, le français y a laisse tomber en desuetude l'acception du "captif", et il n'y est plus reste que celle du "miserable". Mais une singularite est survenue; au seizieme siecle, la langue savante a francise "captivus", et en a fait "captif". Les procedes de la langue populaire et de la langue savante sont tellement differents, que "chetif" et "captif", qui sont pourtant le meme mot, marchent cote a cote sans se reconnaitre. Il faut convenir que, "chetif" ayant irrevocablement perdu son sens de prisonnier, "captif" est un assez heureux neologisme du seizieme siecle.

D

déployer (W3)

Frz. "déployer" = dt. "entfalten", "ausbreiten", "öffnen", altfrz. "desploiier" = dt. "entfalten", "ausbreiten" basiert auf lat. "displicare" = dt. "entfalten", "ausbreiten", "streuen", mit lat. "dis-", "dés-" = dt. "ab-", "aus-", "ent-", lat. "dis-" = dt. "auseinander", "un-", "ent-" und frz. "ployer" = dt. "sich biegen", frz. "plier" = dt. "zusammenlegen", "falten", lat. "plicare" = dt. "falten".

Unter engl. "deploy" wird die weitere Herkunft und die Verwandtschaft vorgestellt.

(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/déployé

déployé


(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/déployée

déployée


(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/déployer

déployer

Étymol. et Hist.
1. Ca 1130 "étendre", "déplier quelque chose" (Gormont et Isembart, éd. A. Bayot, 287); 1548 "rire à gorge desployée" (Noël du Fail, Contes d'Eutrapel, éd. J. Assézat, II, p. 7);
2. fin xiiies. [ms.] fig. "dépenser", "mettre en œuvre" (Lai Ombre, éd. J. Bédier, 39; cf. Romania, t. 58, p. 441);
3. 1538 "déployer une troupe" (Est., s.v. explicare). Dér. de "ployer"*; préf. "dé-"*.


(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/redéployer

redéployer


(E?)(L?) http://www.expressio.fr/expressions/rire-a-gorge-deployee.php

Rire à gorge déployée


(E?)(L?) http://www.femmescelebres.com/marilyn-monroe-licone-blonde/

Marilyn Monroe, l’icône blonde

Marilyn riant à gorge déployée sur la bouche de métro, Marilyn retouchée par Andy Warhol, ou encore Marilyn assise dans un coin, vêtue d’un tutu… Personne ne peut se vanter (ne peut prétendre n’avoir) de n’avoir jamais vu ces photographies tant elles font parties de la culture collective ! Lire la suite »


(E?)(L?) http://www.franceterme.culture.gouv.fr/FranceTerme/recherche.html

Journal officiel du 2007-12-23 - divergent déployable
"divergent déployable"
Domaine : Sciences et techniques spatiales/Propulsion
Définition : Divergent qui peut être allongé en cours de fonctionnement d'un moteur-fusée pour augmenter le rapport de détente de la tuyère.
Voir aussi : divergent
Équivalent étranger : expandable nozzle (en), extendable nozzle (en)

"force projetable"
Domaine : Défense/Opérations
Définition : Force capable d’intervenir rapidement loin de son lieu habituel de stationnement.
Voir aussi : force modulaire
Équivalent étranger : "deployable force" (en)


(E?)(L?) http://jargonf.org/wiki/d%C3%A9ployer

déployer

verbe transitif. [administration]. Mettre en œuvre un nouveau système. Voir "déploiement".


(E?)(L1) http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/


(E?)(L1) http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/search?verb=d%C3%A9ployer

déployer


(E?)(L?) http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/search?verb=red%C3%A9ployer

redéployer


(E?)(L?) http://termiumplus.gc.ca/tpv2guides/guides/rdp/index-fra.html?lang=fra&lettr=indx_catlog_d&page=../preposition


(E?)(L?) http://www.btb.termiumplus.gc.ca/tpv2guides/guides/rdp/index-fra.html?lang=fra&lettr=indx_catlog_d&page=9a_CmNBmfYPk.html#zz9a_CmNBmfYPk




(E?)(L?) http://encyclopedie.uchicago.edu/node/175

| DÉPLIER ou DÉPLOYER, Mallet, [Commerce; Commerce; Commerce] | DÉPLOYÉ, Eidous, [Coat of arms; Blason; dans le Blason] | DÉPLOYER UNE VOILE, NA, [Navy; Marine; Marine] | Déployer le pavillon, Bellin, [unclassified] | Déployer le trait, NA, [Hunting; Vénerie; Venerie.]


(E?)(L?) http://artflsrv02.uchicago.edu/cgi-bin/philologic/getobject.pl?c.3:2114.encyclopedie0513.8946533

DÉPLIER ou DÉPLOYER, v. act. (Commerce)

étendre en long ce qui étoit plié. On le dit particulierement des étoffes que les marchands en détail déplient & étalent sur leurs tables & bureaux pour les faire voir à ceux qui les marchandent, soit pour les assortir, soit pour mieux en considérer la qualité & la bonté. Quand on déplie des étoffes pour en faire la montre, il est important de les replier dans les mêmes plis, de peur de leur en faire prendre de faux. Dictionn. de Comm. de Trév. & Chamb. (G)


(E?)(L?) http://collatinus.fltr.ucl.ac.be/jano/

Dictionnaire Latin-Français

• deplico, are : - tr. - déployer.


(E2)(L1) http://www.kruenitz1.uni-trier.de/cgi-bin/callKruenitz.tcl

"Déployer", s. "Nachlaßen"


(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=déployer
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.

Frz. "déployer" taucht in der Literatur um das Jahr 1570 / 1670 auf.

Erstellt: 2015-07

déserter (W3)

Dt. "desertieren" (17. Jh.) = dt. "fahnenflüchtig werden" geht über frz. "déserter" zurück auf lat. "desertare", "deserere" = dt. "verlassen", "abtrennen", "im Stich lassen". Dieses setzt sich zusammen aus lat. "de-" = dt. "nicht-", "un-" und lat. "serere" = dt. "aneinanderfügen", "aneinanderreihen", "fügen", "reihen".

Frz. "déserter" = dt. "verwüsten" findet man seit etwa 1100. Ende des 13. Jh. erhielt es die Bedeutung "im Stich lassen", "verlassen", um 1680 "seine Armee verlassen". Es geht zurück auf lat. "desertare", "desertus", "deserere" = "verlassen", "vernachlässigen", "unbebaut lassen", "verwüsten".

(E1)(E1) http://atilf.atilf.fr/tlf.htm
DÉSERTÉ, ÉE, part. passé et adj.

(E1)(E1) http://atilf.atilf.fr/tlf.htm
DÉSERTER, verbe trans.

(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/déserté


(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/déserter


Erstellt: 2010-07

Déserteur (W3)

Der "Deserteur" (17. Jh.) = dt. "Fahnenflüchtiger", "Überläufer", geht zurück auf frz. "déserteur", lat. "desertor", und setzt sich zusammen aus lat. "de-" = dt. "nicht-", "un-" und lat. "serere" = dt. "aneinanderfügen", "aneinanderreihen", "fügen", "reihen".

Im Jahr 1243 findet man "Déserteur" noch neutral als frz. "celui qui abandonne" = dt. "jener der weggeht". Um 1680 findet man den "Déserteur" speziell als frz. "celui qui quitte son armée" = dt. "der seine Armee verläßt".

(E1)(E1) http://atilf.atilf.fr/tlf.htm
DÉSERTEUR, subst. masc.

(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/déserteur


(E?)(L?) http://www.histoire-genealogie.com/spip.php?article1268
Des déserteurs Bavarois demandent à émigrer en Algérie, en 1843 et 1844

(E?)(L?) http://www.histoire-genealogie.com/spip.php?article406
Conscrits et déserteurs au temps du Directoire

Erstellt: 2010-07

Désertion (W3)

Frz. "Désertion" = dt. "Fahnenflucht" geht zurück auf frz. "déserteur", lat. "desertor", und setzt sich zusammen aus lat. "de-" = dt. "nicht-", "un-" und lat. "serere" = dt. "aneinanderfügen", "aneinanderreihen", "fügen", "reihen".

(E1)(E1) http://atilf.atilf.fr/tlf.htm
DÉSERTION, subst. fém.

(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/désertion


(E?)(L?) http://encyclopedie.uchicago.edu/node/175


(E?)(L?) http://artfl.uchicago.edu/cgi-bin/philologic31/search3t?dbname=encyclopedie1108&word=&dgdivhead=%5El&dgdivocauthor=&dgdivocplacename=&dgdivocsalutation=&dgdivocclassification=&dgdivocpartofspeech=&dgdivtype=&CONJUNCT=PHRASE&DISTANCE=3&PROXY=or+fewer&OUTPUT=conc&POLESPAN=5&KWSS=1&KWSSPRLIM=500
Lettres de désertion, NA, [unclassified]

Erstellt: 2010-07

dragon, Dragoner (W3)

Die "Dragoner" verdanken ihren Namen dem "Drachen" als Wappenzeichen.

(E?)(L?) http://www.cssh.qc.ca/projets/carnetsma/dragon/dragon_creuser.html
Creuser sous le mot "dragon" [étymologie commentée sur le mot "dragon")

E

Esnault, Gaston
Le poilu tel qu'il se parle
Dictionnaire des termes populaires récents et neufs employés aux armées en 1914-1918
étudiés dans leur étymologie, leur développement et leur usage
(1919)

Online lesbar

(E?)(L?) http://www.archive.org/details/lepoilutelquilse00esnauoft


(E?)(L?) http://www.archive.org/stream/lepoilutelquilse00esnauoft#page/n7/mode/2up




F

frontière
Front (W3)

Die frz. "frontière" = "Grenze" war ursprünglich - und heute auch noch - die (bewegliche) Kampflinie zwischen zwei feindlichen Heeren,also dt./frz. "Front". Mit den modernen Staaten erhielt frz. "frontière" die Bedeutung einer festen Grenze.

Die "Front" geht weiter zurück auf lat. "frons" = "Stirnseite" und bedeutete ursprünglich allgemein herausragender (Körper-)teil.

(E?)(L?) http://espacestemps.revues.org/document842.html

...
La "frontière", une construction historique évolutive.

L'Antiquité classique puisait l'idée de frontière dans les pratiques d'une société rurale qui bornait l'espace, dans le sens d'une extrémité au-delà de laquelle s'ouvre souvent l'inconnu ("finis" chez les Romains). L'apparition du terme est toutefois bien plus tardive, puisque son étymologie vient de "front", qui désigna à partir du 13e siècle "la limite temporaire et fluctuante séparant deux armées lors d'un conflit" (Fèbvre, 1962). Ce n'est qu'avec l'avènement de l'État moderne que la "frontière" apparaît comme "une limite de souveraineté" (Nordman, 1999). Du 16e au 19e siècle, les principes de continuité et de cohésion territoriales s'imposèrent aux dépens des repères médiévaux et primèrent sur les allégeances interpersonnelles; confins et marches furent alors remplacés par des tracés de plus en plus exclusifs.
...


(E?)(L?) http://www.aerzte-ohne-grenzen.de/
Die dt. "Ärzte ohne Grenzen" heißen frz. "Médecins sans Frontières" ("MSF").

G

Garde nationale (W3)

Dt. "Nationalgarde", frz. "Garde nationale" (1789), engl. "National Guard" geht zurück auf die in der französischen Revolution 1789 in Frankreich gegründete französische Bürgerwehr "Garde nationale". Die französische Nationalgarde wurde 1871 wieder aufgelöst. Die Bezeichnung wurde jedoch, als engl. "National Guard", in vielen Ländern für militärische oder paramilitärische Einheiten übernommen. So etwa für die Miliz der US-Einzelstaaten und Reserve der US-Streitkräfte.

(E?)(L?) http://www.histoire-image.org/site/rech/resultat.php?mots_cles=garde+nationale

garde nationale


(E?)(L?) http://history.howstuffworks.com/revolutionary-war/marquis-de-lafayette3.htm

During the French Revolution, Lafayette was among reform leaders who demanded that Louis XVI convene the States-General, the legislature that had not met in 175 years. He supported its transformation into the National Assembly, of which he was chosen vice president. He presented for adoption the Declaration of the Rights of Man. After the storming of the Bastille, Lafayette became commander of the "National Guard". Its goal was to protect the constitutional monarchy that the king was forced to accept.
...


(E?)(L?) http://www.laviedesidees.fr/La-Garde-nationale-en-revolution-s.html

La Garde nationale en révolution(s)

La Garde nationale, créée le 13 juillet 1789, a traversé presque tout le XIXe siècle. Est-elle la mémoire de la Révolution, l’incarnation des intérêts supérieurs de la Nation, un instrument aux mains de la bourgeoisie ? Retour sur une institution disputée tant par l’émeute que par le pouvoir.
...


(E?)(L?) http://www.noslivres.net/

Rechercher : "Garde nationale"


(E?)(L?) http://frda.stanford.edu/en/images
Während der französischen Revolution wurde auch in Frankreich eine Nationalgarde gebildet.


+Everyday politics
+ The National Guard ...
+Costume
+Military uniforms


(E?)(L?) http://www.universalis.fr/encyclopedie/garde-nationale/

GARDE NATIONALE

Le 13 juillet 1789, le comité permanent des électeurs décide la constitution d'une force armée de 48 000 hommes pour assurer le maintien de l'ordre dans la capitale. Son commandement est confié le 15 juillet à La Fayette. Elle reçoit le nom de "garde nationale". Dans la plupart des villes et dans de nombreux villages, des milices sont formées sur ce modèle. Leur recrutement varie selon les régions mais est surtout réservé à l'origine aux citoyens aisés. Le décret du 12 juin 1790 leur donne un règlement uniforme. Le décret du 14 octobre 1791 décide que le service dans la garde sera obligatoire pour les citoyens actifs de dix-huit à soixante ans.
...


(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=Garde nationale
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.

Frz. "Garde nationale" taucht in der Literatur um das Jahr 1780 auf.

Erstellt: 2015-02

guerre (W3)

Frz. "guerre" (1100), dt. "Krieg", ist ein Import der Franken, die es ihrerseits aus dem Flämischen übernommen hatten. Das ursprüngliche fränk. "*hwerra", "*ghwerra", "*werra" = "Verwirrung", "Durcheinander" machte zunächst einen Buchstabentausch zu "*wherra" und schließlich eine Anpassung an die romanische Schreibweise und eine Bedeutungsverschiebung zu "Krieg" durch (1080 poem of Roland). Das fränkische "*werra" verdrängte das frühere lat. "bellum" = "Krieg" aus der französischen Sprache.

Weitere w-Beispiele sind:

Man findet auch den Familiennamen "Guerre".

(E?)(L?) http://www.classical-composers.org/comp/jaquet
Jacquet de la Guerre, Elisabeth (1659-1729)

(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/guerre


(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/definition/guerre


(E?)(L?) http://monsu.desiderio.free.fr/atelier/guerre.html
guerres

(E?)(L?) http://www.indochine-souvenir.com/
Les Guerres

(E?)(L?) http://logos.muthos.free.fr/etymologie/P.htm


(E?)(L?) http://logos.muthos.free.fr/histoire/histoire.htm


(E?)(L?) http://www.proto-english.org/e1.html

Germanic words starting with "w-" were often pronounced "ghw-" (soft "g", a blown "w-"). Traces of that in English are the words "what", "where", and others. In Beowulf what is written "hwaet". Later writers inversed "hw-" into "wh-", as the "ghw-" pronounciation faded into simple "w-". The word war was initially pronounced "*hwerra" (a Frankish word < Flemish) and meant "confusion". The French picked up the word as "guerre" (1080 poem of Roland). The modern Dutch word for the English war is "oorlog", related to the German word "erlegen" ("to kill", "to put down"). In Dutch war still means "confusion".


(E?)(L?) http://www.site-du-jour.com/dossiers/guerres-interminables.html

Quand les guerres se prolongent…

Les plus anciennes traces de conflits guerriers remontent à plus de 2400 av. J.-C. Ils impliquaient alors les cités États de Lagash et Oumma, en Mésopotamie. Trois siècles durant, les hostilités se prolongèrent afin de déterminer de façon permanente le statut frontalier de chacune des deux principautés. Or cette querelle de frontière ne cessera plus de se répéter au cours de l'Histoire avec autant de variantes que la cupidité humaine en imaginera. On fera désormais la guerre pour de nombreux motifs, toujours valables selon les belligérants, dans l'espoir de conquérir de nouveaux territoires (la guerre de Cent Ans) ou de repousser les limites d'un ancien (les guerres puniques), dans le but d'accroître son pouvoir (la guerre du Péloponnèse), pour accéder à un trône ou un héritage (la guerre des Deux-Roses), pour racheter un honneur bafoué (la guerre de Troie), pour imposer sa religion (les campagnes de Mahomet) ou pour épurer la race (la guerre au Rwanda)…
...


(E?)(L?) http://www.site-du-jour.com/dossiers/afrique-guerres.html

Guerres en Afrique


(E?)(L?) http://users.skynet.be/litterature/guerre/titre.htm


(E?)(L?) http://users.skynet.be/litterature/guerre/cadre.htm

Les portes de la guerre sont une fois de plus ouvertes.

C'est le moment de regarder vers le passé et de se rendre compte que, depuis toujours, elle a scandé la vie de l'homme.

Toutefois, à côté de l'héroïsme que chantent les épopées, la littérature et l'art témoignent aussi de la souffrance réelle de l'homme qui se bat et aussi - surtout - des victimes innocentes qui subissent les conflits.




Erstellt: 2010-02

Guerre de course (W3)

Frz. "Guerre de course" = dt. "Handelskrieg", bezeichnet die Kriegführung auf See mit dem Ziel die Handelswege bzw. die Handels-Infrastruktur des Feindes zu schädigen. Im 19. Jahrhundert wurden diese Aktionen oft durch privat agierende aber staatlich sanktionierte Piraterie unterstützt (Freibeuter, Kaperschiffe). Im 20. Jahrhundert wurden vorwiegend Unterseeboote eingesetzt.

Gemeinsam mit frz. "course" geht auch frz. "corsaire", zu ital. "corsaro" und dt. "Korsar" auf lat. "cursus" = frz. "course" (wohl im Sinne von dt. " Wettbewerb", "Laufbahn") zurück.

(E?)(L?) http://militaryhistory.about.com/od/glossaryofterms/g/guerred.htm


(E?)(L?) http://www.histoire-genealogie.com/spip.php?article1046

La guerre de course en Guadeloupe - XVIII° - XIX° siècles
ou Alger sous les tropiques
lundi 6 novembre 2006

Présentation : Depuis le terrible dey Victor Hugues, et sous son Gouvernement même, la Guadeloupe a été Alger par ses marins » s’exclamaient en 1800 Jeannet et Bresseau, agents des consuls en Guadeloupe. L’activité frénétique des corsaires aux larges des côtes guadeloupéennes au temps de Victor Hugues a pu, en effet, évoquer à divers titres celles des terribles pirates barbaresques qui sévissaient en Méditerranée à la même époque.
...


(E2)(L1) http://www.pourquois.com/histoire_geo/pourquoi-traite-paris-interdisait-guerre-course.html

Pourquoi le traité de Paris interdisait-il la guerre de course ?


(E?)(L?) http://www.thecanadianencyclopedia.com/articles/fr/guerre-de-course

La guerre de course fait allusion à l'autorisation accordée par un gouvernement aux navires privés de faire la guerre aux ennemis de l'État. Au Canada, cette pratique commence en 1613, lorsque Samuel Argall lance une attaque contre PORT-ROYAL, en Acadie. Parmi les corsaires anglais qui appareillent de Terre-Neuve et de la Nouvelle-Angleterre se trouvent les frères KIRKE, qui prennent Québec en 1629. De leur côté, des corsaires français font voile à partir de Port-Royal, de LOUISBOURG et d'autres ports éloignés; parmi eux on compte Pierre Le Moyne d'IBERVILLE, qui, en 1696-1697, capture et brûle St. John's en semant la terreur dans plusieurs collectivités le long des côtes de Terre-Neuve. De 1756 à 1815, des corsaires britanniques quittent les ports d'Halifax, de Liverpool, de Shelburne, d'Annapolis Royal, de St. Andrews et de Saint-Jean pour naviguer vers le sud jusqu'au Venezuela. Comme la Grande-Bretagne est mêlée à de nombreuses guerres, les occasions ne manquent pas pour les corsaires de s'y engager.
...


(E?)(L?) http://fr.wikipedia.org/wiki/Corsaire

Sommaire

Le mot « corsaire » a été emprunté de l'italien « corsaro » lui même dérivé du latin « cursus », « course ». Le mot « corsaire » est attesté au XVe siècle au début du XVIIe siècle) mais le terme de pirate était encore utilisé comme synonyme à la fin du Moyen Âge, d'où la confusion entre les deux acceptions.
...


(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=Guerre de course
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.

Frz. "Guerre de course" taucht in der Literatur um das Jahr 1860 auf.

Erstellt: 2012-02

Guerre en Dentelles (W3)

SO weit ich die Beschreibung verstehe handelt es sich beim frz. "Guerre en Dentelles" um den Versuch den Gegner auf dem Verhandlungsweg zu besiegen, bevor man statt der "Zähnchen" die "Zähne" zeigt. Die Quelle, aus der zitiert wird stammt aus dem Jahr 1790.

(E?)(L?) http://www.universalis.fr/encyclopedie/guerre-en-dentelles/
GUERRE EN DENTELLES

Erstellt: 2010-12

H

I

insoumis (W3)

Frz. "insoumis" (1564) = dt. "aufsässig", "widerspenstig", wörtlich dt. "nicht unterworfen" geht zurück auf lat. "insubmittere" das sich zusammensetzt aus lat. "in" = dt. "nicht", "un-", lat. "sub" = dt. "unter" und lat. "mittere" = dt. "werfen", "schleudern", "schießen", "stoßen".

Ursprünglich bezeichnete frz. "insoumis" einen "Soldaten, der seiner Einberufung nicht Folge leistet".

Das auf lat. "submittere" zurückgehende engl. "submit" heißt demnach dt. "unterbreiten", "abgeben", "vorlegen", "vorbringen", "einreichen".

(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/insoumis

INSOUMIS, -ISE, adj.

Étymol. et Hist. 1. 1564 « qui n'est pas soumis, refuse de se soumettre » (Doc. ds Delb. Notes mss : fils... desobeissant et insoumis de fait et de paroles envers son père); 2. a) 1832 soldat insoumis (Moniteur universel, 21 mars, 854b); b) 1832 subst. masc. « militaire qui a commis le délit d'insoumission » (ibid.); 3. 1841 fille insoumise (Gisquet, Mém. IV, 314 ds Fr. mod. t. 18, p. 135). Dér de soumis, part. passé de soumettre*; préf. in-1*.


(E?)(L?) http://www.femmescelebres.com/alienor-daquitaine-la-reine-insoumise-de-france-et-dangleterre/

Aliénor d’Aquitaine, La reine insoumise de France et d’Angleterre

Aliénor d’Aquitaine, outre le fait d’avoir été successivement à la tête des deux royaumes les plus puissants du Moyen Age, la France et l’Angleterre, a été la première femme française chef d’État à part entière. Femme très cultivée et déterminée, elle fut une diplomate remarquable. Elle marqua son époque également par son indépendance à l’égard de ses époux, le roi de France Louis VII, dont elle obtint le divorce, et le roi Henri II de Plantagenet.
...


(E?)(L?) http://www.femmescelebres.com/juliette-capulet-linsoumise/

Juliette Capulet, l’insoumise

Nous sommes à Vérone, en Italie, à la fin du XVIe siècle. La ville est le théâtre d’un affrontement entre deux familles rivales, les Montaigu et les Capulet. "Roméo" Montaigu et "Juliette" Capulet tombent amoureux l’un de l’autre, alors que leurs noms les destinaient plutôt à se haïr, sans qu’ils sachent véritablement pourquoi.
...


(E?)(L?) http://www.medieval-moyen-age.net/article-1234069.html

Samedi 19 novembre 2005
Ecosse et perfide Albion

Qui ne connaît pas Killian le barbare écossais de Médiéval et Moyen-Age…. Barbare car insoumis et issu d’un peuple avide de liberté… Même Jules César a renoncé à pacifier l’Ecosse ! La devise de l’Ecosse veut dire « qui s’y frotte s’y pique ! »
...


(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=insoumis
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.

Frz. "insoumis" taucht in der Literatur um das Jahr 1780 auf.

Erstellt: 2013-08

insoumission (W3)

Frz. "insoumission" = dt. "Aufsässigkeit", "Widerspenstigkeit", "Widerstand", wörtlich dt. "Nicht-Unterfürfigkeit" geht zurück auf lat. "insubmittere" das sich zusammensetzt aus lat. "in" = dt. "nicht", "un-", lat. "sub" = dt. "unter" und lat. "mittere" = dt. "werfen", "schleudern", "schießen", "stoßen".

Ursprünglich bezeichnete frz. "insoumission" die "Nichtbefolgung des Einberufungsbefehls".

(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/insoumission

INSOUMISSION, subst. fém.

Étymol. et Hist. 1. 1818 « non-soumission » (Marguery, Nouv. dict. de la langue françoise, p. 291); 2. 1873 « situation du soldat insoumis » (Lar. 19e). Dér. de soumission*; préf. in-1*.


(E?)(L?) http://www.histoire-genealogie.com/spip.php?article405

Le mal de l’insoumission


(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=insoumission
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.

Frz. "insoumission" taucht in der Literatur um das Jahr 1790 auf.

Erstellt: 2013-08

J

K

L

les-expressions
LES EXPRESSIONS - GUERRE ET ARMÉE

(E?)(L?) http://www.les-expressions.com/resultats.php?toid=15
23.09.2009:





M

netmarine.net
Net-Marine
L'Histoire militaire maritime française

(E?)(L?) http://www.netmarine.net/

Net-Marine est une association, loi 1901, qui a pour but la diffusion de l'histoire militaire maritime française sur l'Internet. Net-Marine n'est pas le site officiel Marine nationale, les informations qu'il contient n'engagent pas le ministère de la défense. Les informations techniques sont issues de sources publiques.


Erstellt: 2015-07

N

O

obus (W3)

Mit den Hussiten, den Anhängern des Reformators "Jan Hus" kam auch das Wort "obus" = "Granate" von Tschechien nach Frankreich. Interessanterweise machte das tschech. "houfnice" auf dem Weg nach Frankreich einen Umweg über dt. "Haubitze", die demnach ebenfalls aus Tschechien kommt.

(E?)(L?) http://www.radio.cz/fr/article/75998


P

Pass, Passeport, Passport (W2)

Der "Pass" ist eine Erfindung des französischen Militärs. Um den Militärdienst temporär oder permanent zu verlassen benötigte ein Soldat die schriftliche Genehmigung "das Kasernentor zu durchschreiten", "durch die Tür zu gehen" ("passer" = "durchqueren", "überschreiten", "passieren" und (la) "porte" = "Tür", "Pforte", "Tor", "Durchgang").
Der entsprechende Passierschein hieß also folgerichtig frz. "passeport" = "Passierschein".
Schnell erkannte man, dass ein Passierschein auch in anderen Bereichen ganz praktisch war. Außerdem schaffte der frz. "passeport" die "Passage" nach England (als "passport") und nach Deutschland als "Paßport". In Dutschland wurde daraus schnell der kürzere "Pass" (engl. "pass", ital. "passo").

Bleibt noch zu erwähnen, dass frz. "passer" auf lat. "passus" = "Schritt" zurückgeht. Und weil man ein Gebirge am einfachsten durch die Täler (zwischen zwei Bergrücken) durchschreitet, heißen auch diese Einrichtungen "Pass".
Und im Fussball wird auch ein "quer durch oder über alle Hindernisse "schreitender" Ball" als "Pass" bezeichnet.

Q

R

rallier (W3)

Frz. "rallier" (1100) = dt. "sich sammeln", "zusammenkommen" setzt sich zusammen aus lat. "re-" = dt. "zurück-", "wieder-" und lat. "alligare = dt. "anbinden", "verbinden". Ursprünglich bedeutete "rallieren" das Einsammeln von verstreuten Truppenteilen.

(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/rallier


(E?)(L?) http://termiumplus.gc.ca/tpv2guides/guides/rdp/index-fra.html?lang=fra&lettr=indx_catlog_r&page=../preposition


(E?)(L?) http://www.patrimoine-de-france.org/hommes/honneurs-369.html
"Rallier" findet man auch als Familiennamen "Rallier Du Baty".

(E?)(L?) http://encyclopedie.uchicago.edu/node/175


(E?)(L?) http://artfl.uchicago.edu/cgi-bin/philologic31/getobject.pl?c.102:234.encyclopedie1108
RALLIER, Le Blond, [Military Arts; Art militaire; dans l'art militaire]

(E?)(L?) http://artfl.uchicago.edu/cgi-bin/philologic31/getobject.pl?c.102:234:1.encyclopedie1108
Rallier, NA, [Navy; Marine; Marine.]

Erstellt: 2011-01

Redoute (W3)

Dt. "Redoute", span. "reducto", frz. "redoute", ital. "ridotta", engl. "redoubt", war ursprünglich ein dt. "Zufluchtsort" und geht zurück auf lat. "reductio" = dt. "Zurückführung", lat. "reducere" = dt. "zurückziehen", "zurückschieben". Im militärischen Bereich wurde daraus eine "Verteidigungsanlage", "Festung" und in Österreich machte man daraus einen "Maskenball", "Ort einer Tanzveranstaltung".

Man sollte annehmen, dass frz. "redouter" = dt. "zurückziehen", "zurückschieben" und frz. "douter" = dt. "zweifeln" enge Verwandte sind. Aber anscheinend kam es hier zur Angleichung zweier Wortfamilien.

Während frz. "redouter" auf lat. "reducere" = dt. "zurückziehen", "zurückschieben" zurück geht, worauf auch dt. "reduzieren" basiert und lat. "ducere" = dt. "führen", "leiten", geht frz. "douter" zurück auf lat. "dubitare" = dt. "etwas bezweifeln", "befürchten", "fürchten", wörtlich "zwischen zwei Möglichkeiten wählen müssen".

zu "redouter", lat. "reducere":

Das dt. "ziehen", mhdt. "ziehen", ahdt. "ziohan", got. "tiuhan", aengl. "teon", altisl. "togenn" = dt. "gezogen" und lat. "ducere" = dt. "ziehen", "führen" gehen zurück auf eine Wurzel ide. "*deuk" = dt. "ziehen". Hier findet man z.B. auch etwa unerwartet dt. "Dusche" = dt. "Brause", "Brausebad", das im 18. Jh. als medizinischer Terminus aus frz. "douche" entlehnt und im 19. Jh. in den allgemeinen Sprachgebrauch überging. Dieses führt über ital. "doccia" = dt. "Wasserrinne", "Gießbad", ital. "doccione" = dt. "Leitungsröhre" zu lat. "ductio", "ductionem" = dt. "Ziehen", "Führen". (Es handelt sich bei der "Dusche" ursprünglich um eine "Wasserführung".) Weiterhin findet man in der Wortfamilie dt. "Zaum", "Zeug", "Zeuge", "zögern", "Zögling", "Zucht", "zucken", "Zug", "Zügel", "Herzog", "erziehen", "ungezogen", "produzieren", "Dukate" (die Münze mit dem Bildnis des Herzogs, dem lat. "dux" = dt. "Führer"), und einige andere "Zieh"-Wörter.

zu "douter", lat. "dubitare":

Schreitet man weiter zurück so steckt hinter lat. "dubitare" und dt. "zweifeln" die Wurzel ide. "*dwi-", "*duwo-", "*dow-o" = dt. "zwei". Daraus machten die Römer sowohl lat. "bi-", wie etwa in engl. "biannual" = dt. "zweimal jährlich", "halbjährlich" oder frz. "bicyclette" = dt. "Zweirad", dt. "Kombination" = dt. "Zweiervereinigung", dt. "Bilanz" zu lat. "bilanx" = dt. "zwei Waagschalen habend". Auch "de-" findet man hier wie in frz. "deux" = dt. "zwei", frz. "double" = dt. "doppelt", lat. "di-", wie etwa in dt. "dimorph" = dt. "zweigestaltig", dt. "Diplom" = dt. "zweifach Gefaltetes". Es begegnet uns heute aber auch als "vi-", wie etwa in frz. "vingt" = dt. "zwanzig", "zwei (mal) zehn" oder dt. "Viz" = "zweiter Wein", "Ersatzwein", lat. "vice vinum". Und in der Form "du-" findet man es in "duplex" = dt. "doppelt", wörtlich "doppelt gefaltet".

Das ursprüngliche lat. "dubitare" kann man noch in frz. "dubitatif" = dt. "zweifelnd" oder auch in engl. "doubt" = dt. "zweifeln" erkennen.

Mit einer kleinen Vorsilbe "-am-" die man grob mit dt. "um", "umherum" übersetzen könnte, kommt man zu lat. "ambi-" und dann auch zu griech. "amphi-" = dt. "zu beiden Seiten", "rings umher", "alle zwei zusammen". Damit kommt man zu dt. "ambivalent" = dt. "zweiwertig", "Amphitheater", das aus zwei halbkreisförmigen Theatern bestehende "Umherumtheater", und "Amphibie", dem in zwei Lebensbereichen existierenden Lebewesen oder Fahrzeug, oder "Amphore" = dt. "Zweiträger". Und völlig unerwartet findet man in dieser Wortfamilie auch frz. "aller" = dt. "gehen", das auf lat. "ambulare" = dt. "umherstreunen", "umherschlendern" "daherschreiten", "wandern", "reisen" zurück geht.

Und dann muß man auch noch dt. "Amt" erwähnen, das auf einem langen Weg über mhdt. "ambet", "ambt", "ambahte", ahdt. "ambaht", "ambahti", got. "andbahti", altengl. "ambeht", schwed. "ämbete" = dt. "Dienst", und ahdt. "ambaht", got. "andbahts", altengl. "ambeht" = dt. "Diener", "Bote", zurück geht auf kelt. "*ambaktos", "*ambiaktos" = dt. "Diener", "Bote", und gallolat. "ambactus" = dt. "Herumgeschickter", "Herum-Agierender", zurück geht.

Weiter entstand griech. "dúô", lat. "duo", und dt. "Duell", der "Zweikampf", "Duplo", die "Doppelwaffel" und viele andere "duale" Bezeichnungen.

(E?)(L?) http://french.about.com/od/vocabulary/g/redouter.htm

redouter


(E?)(L?) http://www.burgenwelt.org/frankreich/fanal/gese.htm

66660 Port-Vendres - "Redoute du Fanal" - von Olaf Kaiser

Redoute du Fanal / Port-Vendres - Languedoc

Historie

zwischen 1673 und 1700 - Bau durch den Festungsbaumeister Vauban

1933 - Das Fort wird in die Liste der historischen Monumente aufgenommen.


(E?)(L?) http://www.castlemaniac.com/lexique-medieval/lexique-medieval-lettreR.php

"Redoute": Petit ouvrage de fortification isolé et fermé.


(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/redoute

"REDOUTE", subst. fém.

Étymol. et Hist. A. 1599 fortif. (Ph. de Mornay, lettre à Duplessis-Mornay, 8 oct., in Mmede Mornay, Mém., éd. 1869, t. 2, p. 232 ds Quem. DDL t. 13). B. 1752 "bal public" (Trév., qui précise "à Venise et en plusieurs Cours d'Allemagne"). Empr., avec infl. "deredouter"*, à l'ital. "ridotto" "refuge", "abri" (dep. le xives. d'apr. DEI; cf. les formes fr. "redote" et "ridoute" att. en 1618, d'Aubigné, Hist. univ., t. 2, p. 67 et 91 ds Gdf. Compl.) et "lieu de fête", "lieu de bal" (dep. 1630, Davila d'apr. DEI), du lat. "reductus (locus)" "(lieu) retiré", part. passé adj. de "reducere" (cf. "réduire"). L'ital. "ridotta" "petite fortification" (dep. 1918 d'apr. DEI) est empr. au fr. "redoute".


(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/redouter

"REDOUTER", verbe trans.

Étymol. et Hist. Ca 1135 "redoter" (Couronnement de Louis, 686 ds T.-L.). Dér. de "douter"*, d'abord att. en a. fr. au sens de "craindre"; préf. "re-"*.


(E?)(L?) http://www.ebooksgratuits.com/pdf/perceau_redoute_contrepeteries_illustre.pdf

Perceau, Louis: La Redoute des contrepéteries


(E?)(L?) http://www.e-stoire.net/article-camille-jullian-vercingetorix-_-chap-xvii-p-3-4-5-109185531.html

(05/09/2012 publié dans : Livres/Romans )

Camille Jullian - Vercingétorix _ Chap. XVII \ p. 3, 4 & 5

Vercingétorix

Chapitre XVII - Alésia.

3. Commencement du blocus ; construction des camps et des redoutes romaines.

César reconnut, à l’examen, que la situation d’Alésia appelait le blocus, l’imposait presque comme la solution la plus certaine et la moins sanglante. Son premier mot fut pour dire aux soldats qu’il fallait travailler : il ne s’agissait point de brandir des épées, mais de remuer la terre à grandes pelletées.

Alors commença la plus énorme besogne de terrassement qu’un imperator eût, depuis Marius, ordonnée à des légionnaires, citoyens romains. Il fallait creuser et bâtir, tout autour de la montagne d’Alésia, sur un circuit de onze milles (seize kilomètres) : mais César avait sous ses ordres, pour mener l’œuvre à bonne fin, quarante mille hommes, la plupart vieux soldats aux muscles robustes et aux gestes exercés.
...


(E?)(L?) http://resources.huygens.knaw.nl/vocglossarium/zoekvoc

"Redoute": kleine schans of versterking.


(E?)(L?) http://gtb.inl.nl/iWDB/search?actie=article&wdb=WNT&id=M057970&lemmodern=Redoute

REDOUTE

Woordsoort: znw.(v.)

Modern lemma: redoute

— REDOUT —, znw. vr., mv. -n en -s. Verkl. "redoutje". Uit fr. "redoute", dat zelf een aanpassing is van oit. "ridotta". Het woord is tweemaal ontleend: eerst in de bet. 1), later, in de 18de E., in de bet. 3). Voor alle bet. moet men uitgaan van een grondbet. "plaats waar men zich kan terugtrekken", in de bet. 1) "om zich te verdedigen", in de bet. 3) "om zich te ontspannen". De spelling "redoubt" is een aanpassing aan fr. "redoubter". Zie voor de verwarring van "redoute" en "reduit" W. DE VRIES, Hyperkorrektheid 17. Verg. nog "REDUIT" en "RONDUIT" (I).

1. Eertijds in de versterkingskunst: kleine gesloten veldschans die alleen uitspringende hoeken had; zij kon zoowel van steen of hout gebouwd, als van aarde opgeworpen zijn.

2. Ten gevolge van verwarring met reduit ontstond hiernaast de bet.: versterkte plaats binnen een fort of kasteel, waarop de verdedigers zich kunnen terugtrekken.

3. Gemaskerd bal. In de 18de en 19de E.

Samenst. Als tweede lid: Kruisredoute.

Als eerste lid:

Redoutekamer (3).

Redoutswijs (1), als een redoute, zonder inspringende hoeken.

Redoutezaal (3).


(E?)(L1) http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/

redouter


(E?)(L?) http://www.pc.gc.ca/fra/lhn-nhs/ns/york/index.aspx

Lieu historique national du Canada de la York-Redoute


(E?)(L?) http://encyclopedie.uchicago.edu/node/175

Your search found 64 occurrences


(E1)(L1) https://web.archive.org/web/20210419192416/http://projects.chass.utoronto.ca/langueXIX/dg/08_t1-2.htm

Liste des mots d'origine italienne:

"redoute"


(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=Redoute
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.

Dt. "Redoute" taucht in der Literatur um das Jahr 1690 / 1720 auf.

Erstellt: 2015-12

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Ultima ratio (W2)

Die "Ultima Ratio" = "letztes, äußerstes Mittel" ist eine Verkürzung der ursprünglichen Formel "Ultima ratio regum" = "letztes Mittel der Könige". Sie soll auf den spanischen Dichter P. Calderon de la Barca zurückgehen, der diese Redewendung in seinem Drama "In diesem Leben ist alles wahr und alles Lüge" (vor 1644) verwendete und damit "Pulver und Blei" als "Ultima razon de reyes" bezeichnete.
Letztlich ist der Krieg also das letzte Mittel, wenn alle Verhandlungen nicht zum Ziel führten. Und so ist es auch nicht verwunderlich, wenn man sie als Inschrift auf französischen Kanonen findet.

In preußischen Landen ist sie als "Ultima ratio regis" seit 1742 zu finden.

(E2)(L2) http://www.blueprints.de/wortschatz/
(lat. "die letzte Vernunft", "das letzte Mittel"), Der Ausdruck "ultima ratio" geht zurück auf die Inschrift auf den französischen Geschützen zur Zeit Richelieus (17. Jahrhundert). Auf diesen war zu lesen: "ultima ratio regis/regum" = "das letzte Mittel der Könige/des Königs". Der Begriff wird heute ebenfalls im Sinne von "die letzte Möglichkeit" oder "das letzte Mittel" verwendet.

(© blueprints Team)

(E?)(L?) http://www.duden.de/deutsche_sprache/newsletter/archiv.php?jahr=2005
07.10.2005 ... Ultima Ratio

(E1)(L1) http://www.locutio.com/expressions-usuelles/cadreexpressusuelles.htm
ultima ratio regum

(E3)(L1) http://www.textlog.de/dornblueth.html


(E2)(L1) http://www.uol.com.br/michaelis/
ultima ratio regum

(E?)(L?) http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Latin_phrases


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Le français retrouvé 42
Roynette, Odile
Les mots des soldats

Langue : Français
Éditeur : Belin (6 septembre 2004)
Format : Broché - 269 pages


Présentation de l'éditeur
A l'image de toutes les communautés, celle des soldats - à l'épreuve du combat comme dans la complicité des casernes - a élaboré ses codes et son langage au fil du temps. Mots techniques, mots violents parfois, mais aussi appellations cocasses, langue verte ou langue de bois, tous dessinent le partage quotidien des souffrances, des frustrations et des joies mêlées.

Comme les autres recueils-dictionnaires de cette collection, celui-ci traite à la fois avec sérieux et humour des termes de la vie militaire et de l'argot du soldat. Les définitions sont émaillées d'anecdotes et de citations.


(E1)(L1) http://www.editions-belin.com/csl/result.asp?search=Le français retrouvé


Le français retrouvé 43
Himelfarb, Georges
Le vocabulaire de la guerre et de la paix

Langue : Français
Éditeur : Belin (6 septembre 2004)
Format : Broché - 301 pages


Comme les autres recueils-dictionnaires de cette collection, celui-ci traite avec sérieux des termes militaires (du javelot au MIRV) aussi bien que politiques et diplomatiques (de l'armistice à l'impérialisme) propres au sujet, qu'ils soient anciens ou contemporains. Les définitions sont émaillées d'anecdotes et de citations.


(E1)(L1) http://www.editions-belin.com/csl/result.asp?search=Le français retrouvé


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Roynette, Odile (Auteur)
Les mots des tranchées
L'invention d'une langue de guerre 1914-1918

Poche: 288 pages
Editeur : ARMAND COLIN (12 mai 2010)
Collection : AC.GRAND PUBLIC
Langue : Français


Présentation de l'éditeur
"Boche", "poilu", "le pruneau", le "pinard", la "bectance", "cahoua", "frometon", "bricheton", "bouffer", "becqueter", "avoir la trouille" "casser sa pipe", "passer l'arme à gauche", "se démerder", "être retourné comme une vielle crêpe", "se tirer", "ne pas s'en faire", "roupiller", "se blinder"... autant de termes et d'expressions nés de la Première Guerre Mondiale, partie intégrante du legs symbolique du conflit. "Foireux", "face de semelle", "saucisson à pattes" : à travers la langue des soldats, c'est la réalité de la guerre du poilu qui transparait.

Biographie de l'auteur
Professeur d'histoire. Auteur de : "Bons pour le service : l'expérience de la caserne en France à la fin du XIXe siècle", 460 p., Belin, 2000 "Les mots des soldats", 272 p., Belin, 2004


Erstellt: 2010-05

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